"Aucun processus de ce type n'est engagé", a affirmé Orange. Une réaction aux informations émanant du site TMT Finance, selon laquelle l'opérateur historique se serait attaché les services de la banque JP Morgan pour étudier la cession d'une participation minoritaire de ses infrastructures mobiles en Europe. Une cession de son réseau fibre serait également envisagée dans un second temps, rapporte le média financier, qui estime la valorisation actifs réseaux de l'opérateur à 8 à 10 milliards d'euros sur le seul territoire français.
Ce faisant, Orange imiterait ses principaux concurrents en France. Bouygues Telecom, Altice / SFR et plus récemment Free, qui ont tous recouru à ce type d'opérations récemment. L'opérateur historique dément certes à ce stade toute initiative dans ce sens, rapporte Reuters. Mais son PDG Stéphane Richard soulignait il y a une semaine lors de l'Assemblée générale du groupe la nécessité pour Orange la nécessité de réfléchir à la "maximisation de la valeur" de ses infrastructures.